Dans la lumière artificielle,
J’allume une cigarette
Une coupe de champ à la main
J’observe cette vague d’humains
Qui se déhanchent
Sur des rythmes tendances
Des femmes encore « enfant », des hommes que rien ne retient
Et là dans un coin, je vois cette fille seule, qui danse
A quoi elle pense.
J’éteint ma cigarette
Une nouvelle coupe à la main
J’écoute la musique
Qui s’enchaine
Les esprits s’en mêlent
Des hommes encore « enfant », des femmes qui n’ont peur de rien
Et là dans un coin, je vois partir cette fille
Un homme à la main
C’est son destin
Dans les lumières artificielles,
De cette vie bien réelle
Elle part comme chaque soir
Remplir son devoir.
lydiesa