MATHILDA

Dans la lumière artificielle,

J’allume une cigarette

Une coupe de champ à la main

J’observe cette vague d’humains

Qui se déhanchent

Sur des rythmes tendances

Des femmes encore « enfant », des hommes que rien ne retient

Et là dans un coin, je vois cette fille seule, qui danse

A quoi elle pense.

J’éteint ma cigarette

Une nouvelle coupe à la main

J’écoute la musique

Qui s’enchaine

Les esprits s’en mêlent

Des hommes encore « enfant », des femmes qui n’ont peur de rien

Et là dans un coin, je vois partir cette fille

Un homme à la main

C’est son destin

Dans les lumières artificielles,

De cette vie bien réelle

Elle part comme chaque soir

Remplir son devoir.

lydiesa

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